lundi, février 20, 2006

Break prose et Ah oui, en passant...


Merde, j'allais commencer à relire mon vieux début de roman-feuilleton cet après-midi, histoire de déterminer si l'effort de le poursuivre en vaut la peine ou s'il est préférable recommencer complètement autre chose, mais il m'a fallu rafistoler la cheminée de ma maison èa la demande de mes locataires. Hèye, comme si j'étais en situation financière pour me taper une cheminée neuve ! On va la laisser comme ça. Ça lui permettra de prendre l'air et de siffler un peu si le vent daigne s'y engouffrer comme dans une douille ou dans un roseau...

Reçu un courriel de mon ancien-vieil éditeur... paraît que j'ai reçu une lettre, une missive qui m'est adressée... Bon, les injures qui vont s'ajouter èa la pauvreté et à l'anonymat maintenant ?! Anyway, faut assumer. À moins que ce ne soit Hollywood ?...

J'en ai profité pour remarcher dans le rang de ma tanière. Ça m'a rappelé qqs souvenirs sereins, quand je l'arpentais l'hiver dernier et que mon quotidien y palpait la paix... avant que je n'y rencontre une autre canidé.

Pour l'instant, je loge tout de même une superbe maison de campagne de deux étages dans laquelle l'écho du jazz caresse l'oreille avec les pétillements en syncope du feu... Le genre de maison que peu de gens de ma génération (moi y compris) ne pourront jamais se payer. Anyway, le bonheur est souvent emprunté.

J'écoutais les olympiques hier soir... Il n'y aura jamais d'olympiques littéraires - déjà ça de gagné !

Parlant d'olympiques et des rapprochements que ça provoque, y'a Munich qui joue au cinoche et une fille qui attend mon appel.

Ah oui, en passant...

Un coyote inquiet, pelage d'été (voir photo 1).

2 commentaires:

Catherine a dit...

Wow elle est belle cette photo! wouhou! Méchant pétard!

Coyote inquiet a dit...

Quelle photo ?

;o)