Ouille !
On ne se relève pas d'un mois de turbulence totale, de festival-fiasco, de travail forcéné, de rivières de bières et de discussions, de soleils et de déluges montréalais, de nuits sans heures, de fourmilière de beauté féminine, de regards fendants parfois mais tellement plus souvent de visages fendus par des sourires et la furieuse joie de vivre... sans avoir la tête qui tourne comme une de ces bobines 35 mm que j'ai transportées par centaines et qu'on échapperait du haut du Jacques-Cartier ! J'ai vécu en trente jours le printemps et l'été qui m'avaient été confisqués.
Ouuuuu, ça tourne. Treize heures de sommeil. J'ai à peine pu terminer Constantine hier soir avant de m'endormir dans les bras froids de Kébek. C'est trop brutal comme arrêt, comme retour à la réalité et à son rythme de Stabat Mater : je fous le camp à St-Fortunat rejoindre Carcajou et Porc-Épic. les vidéos et l'eau Perrier attendront vingt-quatre heures !
Je vais vous écrire quelque chose sur Montréal, quelque chose comme une ode à sa beauté et au bien qu'elle m'a fait ce mois-ci. Quand ma tête tournera moins, que j'aurai atterri. Je vous enverrai sous peu aussi une photo de Bébé-Raphael-Ministukuss et son tonton masqué à l'haleine pas catholique.
Je dois réparer ma trottinette. Changé l'alternateur hier mais ma batterie refuse de se recharger. Bordel ! je dois pousser mon char et sauter dedans comme dans les arpents verts à chaque démarrage. Y'en n'aura pas de facile !
samedi, octobre 01, 2005
Crounch, mon Capitaine !
Publié par Coyote inquiet à 1:14 p.m.
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