Ouf, à bout de course, de souffle, d'air et d'air d'aller, d'aller-retour-détour-qui tourne sans fin ! Ô temps, autent en emportes-tu ! Du temps. Perdu, parcouru, couru et rompu. Puuuuuuuuuuuuuff... Et c'est pas fin. Coyote on the road. Again.
En revenant, hier soir. J'ai décidé d'aller voir James, James Bond. C'était l'avant première, ici, sur la Rive-Sud de Kébek, dans le cinéma où j'ai arrêté Toyotaratata.
- Pas le droit, Monsieur, soirée privée, avant-première...
Un orchestre jouait. Et quelle merde ! le gars venait d'Australie. Et j'aime bien l'Australie, et les Australiens, pour y avoir été et en avoir connu quelques uns. Mais là ! L'horreur, leur soirée privée de la haute ! Ah oui, un détail. Quand on ne m'invite pas et que ça me tente d'y aller, je m'invite moi-même, ce que j'ai concrétisé dès qu'il a eu le dos tourné, le gros portier... D'ailleurs, j'avais Marce Aubut à mes côtés, et une sorte de gratin tout autour... gratiné bien épais, en fait ! Voyez le genre ? j,étais même pus capable de faire semblant de faire semblant d'aimer ça, d'apprécier, d'applaudir... J,ai dû frotter mes lunettes pendant quinze minutes vers la fin en ravalant mon dégoût. Enfin, ce qu'il ne faut pas endurer pour voir le dernier James Bond !
... Et ça valait le coup ! J'ai pas vu des cascades comme ça souvent, haletant, sur le bout de ma chaise, à manger toutes les claques sur la gueule en même temps que lui...
Sacré James. Ça ç't'un homme, un vra ! On est pour la plupart sacrément moumoune à côté de lui !
D'ailleurs, je me demande s'il ne se pique pas à la testostérone ou s'il ne prend pas en cachette des amphétamines ou du pcp. Ça devrait être interdit. C'est pas juste.
vendredi, novembre 17, 2006
Ô temps, St-Simonac ! Suspend donc ton ostie d'vol !!
Publié par Coyote inquiet à 8:35 p.m.
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