Mon vieux pote de 82 ans, tombé au combat il y a deux semaines... Je l'aimais bien, ce vieux Beauceron.
La dernière fois où je l'avais vu, il cordait des cordes et des cordes d'érable. Pour son hiver. Pour celui des autres... Le jour d'avant sa mort, affairé, j'ai oublié de lui envoyer la main en passant devant sa demeure. J'ai eu envie de reculer, puis je me suis dit : bof ! je le saluerai le prochain coup, au retour demain...
Au matin le lendemain, ou à l'après-sieste, il ne s'est juste... pas réveillé. J'aimerais bien, comme lui, l'heure venue, partir entre deux rêves.
samedi, août 26, 2006
M. Gosselin...
Publié par
Coyote inquiet
à
7:51 a.m.
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