Quelques djipègs de vie
Vous le croiriez pas : fait CHAUD dans ma tanière ! Le nouveau poêle fait sa job et la grisaille de novembre elle-même amnistie mes pieds nus. Du jamais vu; senti plutôt. C'est sacrément plus l'fun, une bicoque, quand on a chaud dedans. N'empêche, hier, je tournais en rond comme un lion en cage. J'ai eu beau avaler les kilomètres - un vrai démon de pleine lune ! Si on pouvait engranger le surplus de vie pour les jours de caravanne...
J'ai été chez ma voisine hier, pas Renarde, la nouvelle, et j'ai piqué une brassée de cresson dans leur source pour en retransplanter dans celle qui abreuve mon terrain. La nature m'offrira bientôt de ces salades !
Jour d'élections. J'aurais jamais cru que j'avais autant d'importance et qu'autant de visite investirait soudainement mon ermitage. Ils me l'ont dit : ils m'AIMENT. Tous. Mais je dois répondre à leur amour ce P.M. Après il sera trop tard.
Hier soir au Café, y'avait un Alsacien, Charles, et Thierry, un Madascar... rien ? Je suis toujours étonné de voir de l'international sortir de la friche.
Je vous ai déjà dit qu'à force d'être mal embouché, j'ai fini par attraper mauvaise haleine ? Tellement qu'un morceau de dent a décidé d'aller faire un tour à l'extérieur hier... Ça m'apprendra à me mettre les doigts dans la bouche ! Je le sais pas, les dentistes, c'est-tu qui tiennent à offrir eux-aussi un service après-vente ?... Économie transversale, développement de nouveaux marchés ?...
Paris brûle-t-il ? Je crois bien que oui, cette fois. Même Ronaldo Màc-codonalodo (à la jap ) goûte du burger brûlé ! Pour y avoir habité un an (à Paris; pas chez Ronald), je ne suis pas tout à fait surpris... Buk avait bien raison, lorsqu'il disait à Pivot : c'est beige et il y a beaucoup de monde. Beaucoup.
Bon. Y'a toujours dix cordes de bois qui m'envoient des bye-bye par la fenêtre...
dimanche, novembre 06, 2005
J'oubliais les polaroïds...
Publié par
Coyote inquiet
à
11:31 a.m.
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