lundi, avril 18, 2005

Adieu, adieu mes drouggies...

Plus que l'étreinte "rugueuse" de la réalité. Je "sombre" dans le réel... Aidez-moi, rêveurs de toutes sphères. Je réclame, je réclame ! Un chèque de béesse, un matin lent, de la crotte de Morphée dans les cils, la main d'une femme au matin et ses yeux pleins de lune qui craignent le soleil. Je suffoque d'un poème comme la brise printannière porte les urubus et charrie l'odeur des trilles qui poussent sur les carcasses. Le printemps lsd comme une intraveineuse - je pète le feu, étranglé pourtant pas tous les doutes du monde. Sautille entre extase et désespoir à l'ombre tranchante d'un nouveau zénith. Serait-ce l'amour tant attendu qui souffle sur mes jours ?...

Sinon, le printemps cogne en simonac !

Non sérieux, tout va bien, mes p'tits drouggies. Trop. Trop pour écrire.

Allez sur le site de Brisebois : y'a des super-textes.

3 commentaires:

Catherine a dit...

En amour toi aussi???

Ben coudonc, super contente pour toi! Viens-tu ce week-end pour le passage de Brisebois à Montréal!?

Anonyme a dit...

Ben voyons, y a rien sur mon blob, je fais juste m'y pogner le beigne.

Ouais, tu seras à Mtl samedi prochain?

PB

Anonyme a dit...

test chez Guy-Louis