Bon, nouvelle diversion.

(Tiens, l'interface d'écriture de textes de Blogger a changé de couleur, non ? C'était beige, pas lilas ?)

Anyway, je me suis trouvé une nouvelle échappatoire à l'écriture du roman ? Même plus besoin d'ouvrir Internet Explorer pour aller bloguer et y engloutir ma journée... Le e-mail ! C'est tout simple. C'était si évident que je n'y avais pas pensé; du moins pas à ce point... Six heures ! Ç'a fait six heures en ligne que je me tape des e-mails. Des pages et des pages. Des pensées et des pensées. Des mots et des mots. Non pas que je le regrette et que je ne m'en suis pas délecté, loin de là, j'adore l'éciture intime et vraie d'une missive électronique à un ami ou à des personnes que t'apprécie - comme des employeurs... (joke). C'est juste que je me disais : si tu pouvais écrire autant sur ton roman, bordel que ça ne serait pas long avant que tu l'aies pondu et qu'il ne te reste qu'à tenter de le publier !!!) Enfin, on s'entend : l'écriture de blogue, de e-mails et de roman, ça diffère légèrement, va de soi.

Sauf qu'il faut tout de même presser le jus dans le bon contenant si on veut que la recette avance.

Bon, faut que j'aille prendre l'air un peu, je tiens plus en place. Et Renarde timide qui s'en vient souper tout à l'heure et j'ai pas encore commencé à préparer le chili que je lui ai promis...

Plusse mes p'tits drouggies.