Et du côté de la lumière, un lieu étrange et inédit, aux pentures d'années rompues. Des reflets dansent et le temps bat des ailes, vigoureux comme une oie. On grise de combat et d'heures rattrapées, Massai chromé qui trace la savanne de son fin bouclier. On peut bien sourire, solide, assis en Kilimandjaro. C'est un sentier d'angle aigu, mais l'air y est sec, vivifiant. Et les dents se dessèrent d'un silence étale qui rejoint l'océan. Et partout la lumière, avec ou sans l'autre.
Navrant d'obéïr à de si simples lois...
jeudi, novembre 23, 2006
Banale réponse
Publié par Coyote inquiet à 11:58 a.m.
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