Y'a des jours comme ça j'imagine... Aujourd'hui en a été un : j'ai grimpé la corde de cette journée noeud par noeud et chacun recelait une surprise. Certaines... wow ! D'autres... ouille ! D'autres encore... ayoye ! Ça n'a pas lâché. Que de l'inattendu. Une journée où l'air chaud monte et brasse les strates congelées des stratosphères à coups de colonnes de turbulences gigantesques. Rien ne se perd, rien ne se créé - mais bordel que les choses se transforment ! Parfois en tous cas.
Vous seriez surpris si je vous disais que Carcajou a téléphoné toute la journée pour tenter de me soudoyer, de me pervertir, de me FORCER à aller prendre une bière avec lui encore ce soir à son Tchikaboum Palace ?... Non, n'est-ce pas ?
Je me suis trouvé une arme secrète : je ne réponds plus au téléphone; je le laisse s'entretenir avec le répondeur et je continue à travailler sur l'ordi, sourire en coin. De toutes façons, on peut même plus fumer dans les bars : à quoi bon ? Après souper, je suis parti faire une longue promenade à vélo sur le bord du Fleuve. L'odeur des lilas, le soleil qui se couche sur Charlevoix, du beau monde partout (et hélas parfois leur chum aussi)... Pas mal mieux en tous cas qu'écouter le mustélidé de l'enfer péter sa broue !
N'empêche, un peu feu d'artifice, cette fin mai.
jeudi, juin 01, 2006
Surprises surprises
Publié par Coyote inquiet à 11:01 p.m.
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