Le temps a passé
train dans l'orage
nuit ternie
buée de vitre
puis une aube approximative
lumière brouillonne
a chevrotté sur un tapis de fleurs
mais tes doigts crispés ne savent plus saisir
les tiges souples de l'espérance
ce sera une vie sans fleurs
L'automne pleure de sèches couleurs
*
quelle idée - mordre la jardinière !
mercredi, septembre 20, 2006
Train passé
Publié par
Coyote inquiet
à
5:23 p.m.
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