Métamorphose ambiguë
les effluves décomposées sont des cheveux de printemps
les relations, l'écriture, les jours, les heures mêmes
le rapport au temps et la main dans la main du réel...
tout !
comme un long hurlement de migration
sous peu la renaissance
comme l'eau nouvelle du ruisseau qu'abriait la neige
et tu trotteras, haletant, dans tes nouveaux pas
à vos marques, prêts...
mardi, mars 28, 2006
Hola mariposa !
Publié par
Coyote inquiet
à
9:08 a.m.
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