Et voilà !
Un autre p'tit contrat en arrière la cravate !
J'ai plus de job. Plus de toit. Je suis sacrément trop à l'ouest de moi-même. Je sais pas encore si j'aurai droit ou non au chômage... Wow, des pros du suspense ! (Faut que je prenne exemple sur eux.) Mon auto rouspète, comme ma bonne étoile. Mais les cordages tiennent bon. Hurlez, flots échevelés, je galoperai comme on saute à la corde entre les horizons ! Amenez-vous, incertitudes et inquiétudes, je vous balancerai le présent à la gueule comme une écume de renard enragé ! Oyez oyez, tous les possibles - ma porte est grande ouverte. Je combatterai les mots et distrairai mon appétit de toutes ponctuations, je dévoilerai les sens et tous les silences de la langue, je transpercerai les écrans de regards inox et gosserai de cette lame l'écorce d'un présent en sidérale agonie.
Enwoèye, en garde ! J'ai même pas peur.
De façon moins grandiloquente, je m'enligne vers la ville. Je pense. Tranquillement. Et là, me faudra écrire. Pour de vrai. Ne serait-ce qu'une dernière fois. Ne serait-ce que pour me prouver que je puis toujours le faire : défoncer mes limites... ou les approcher... ou les combattre, à tout le moins.
Bon, faut qu'j'y aille. On barre les portes. Un autre acte de terminé.
...
Eh, vous savez quoi ? Reçu un courriel de Renarde. Ça c'est une surprise ! Elle s'inquiète de l'état de mes neuronnes. (Gentil de sa part...)
Hé ! - on ne fait pas de poètes sans casser des yeux.
vendredi, février 17, 2006
Et de deux !
Publié par
Coyote inquiet
à
3:51 p.m.
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