Caroline, la serveuse du Fou Bar, m'a quand même préparé un classique hot-dog, même s'il était moins une. Comment on appelle une fille gentleman ? Une gentlewoman ? Une dame, je suppose.
Autre ligne de sa part : pour vivre en nature (sous-entendu, en ermite), faut être bien dans sa peau, car seul le silence nous écoute ou nous distrait... Pas fou.
Vu en revenant : un conducteur à deux têtes. Il était sans doute bien dans sa peau, car ses deux têtes passaient leur temps à s'embrasser mutuellement.
Aussi vu : la polissssssse ! Mais bof, qu'avais-je à craindre ?
Je pensais aussi, sur la route : toutes ces lignes autofictives, ou pire, autobio, n'ont aucune valeur en elles-mêmes. Nada in situ. L'écriture autobio n'a de valeur que par l'écho qu'elle provoque dans l'unicité de chacun, la résonance qu'elle induit avec le son de vos propres vies.
Ouais, quelque chose comme ça. Bonne nuit.
samedi, janvier 07, 2006
De la part...
Publié par
Coyote inquiet
à
3:23 a.m.
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1 commentaire:
D'accord, mais pas d'accord... L'écriture autobio prend toute sa valeur dans sa rencontre avec l'unicité de chacun.
On s'obstinera là-dessus.
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