le lave-vaisselle vrombit comme un didgeridoo...
Le vent hurle comme une meute
Noël de silences ravalés
engrais à cancer
bruxisme comme unique métronome au temps qui passe, toute joie qui s'éloigne
Tous forts et infaillibles - tous seuls
amère dignité et guerre sans trève
futile arrogance des feuilles rouges de l'automne
peuple dessèché
souvenirs comme espoirs : haillons ou lambeaux
Y'a des jours, faudrait pas que j'aie Dieu en face de moi...
lundi, décembre 26, 2005
Y'a...
Publié par
Coyote inquiet
à
11:06 p.m.
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