Blogue Académie, le site, le concours, les gentils organisateurs...Bon, on rit plus ! On est tous en compétition. Y'a plus d'amis, plus de sentiments. Tous les coups sont permis. Qui va emporter la palme et le prestigieux prix, la gloire et la fortune, en plus du forfait "Tour du monde en 80 jours", toutes dépenses payées, et petites bouteilles de fort dans l'avion" ? Qui ? Qui ? (vous ne l'avez peut-être pas remarqué, mais le deuxième est en latin; non en français... hein, hein, c'est pas commun, hein ?! À part Landry, j'en connais pas ben ben qui m'accotent !...)
Certains blogueurs vous présentent leurs réalisations en soulignant tous les avantages de leur blogue et sollicitent votre vote; d'autres surlignent en rouge toutes les dimensions dont ils affublent leur blogue... Pff, pieuses intentions ou propagande. Ne vous laissez pas naïvement prendre à cette campagne de séduction, cette démagogie qui les couvre de honte. Souvenez-vous ! Souvenez-vous ! Où étaient ces blogueurs à la belle saison ?!!!!!!
Je vais répondre à ce triste questionnement. Ils étaient dehors. Au soleil. En train de profiter sans aucun scrupule de la vie, des joies et plaisirs de la vraie vie !!! Quel infâmie, mesdames et messieurs ! C'est un scandale, probablement le plus grand depuis le début de l'histoire du blogue. Ils se vautraient dans la réalité ad nauseam (hum hum... latin, encore une fois) ! Ils vous abandonnaient à votre triste sort, vous, pauvres lecteurs de la blogosphère sans plus aucun texte à vous mettre sous la dent. Et que faisais-je, moi, à la belle saison, alors que leur irresponsabilité éclaboussait comme le soleil sur le Fleuve ? Je bloguais. Oui. Seul. Contre toute attente. Me torturant pour votre amusement, mes chers amis. M'autoflagellant pour que vous puissiez être heureux, que votre oeil s'épanouisse à la lecture de quelque ligne grêle et souffreteuse. Bon ok, nous avons certes éprouvé quelques problèmes techniques qui ont assailli les installations de notre parti et qui nous ont empêché de publier urbi et orbi (...) ces textes sur le web pour que vous vous en régaliez avec goinfritude (remarquez ici l'originalité - qui est une des catégories... - dont nos orateurs savent faire preuve),
mais ces légers problèmes techniques sont révolus
maintenant et à jamais réglés, résolus
(hum hum... poésie...)
mesdames et messieurs ! À jamais. Et le fait est que, l'important, c'est que je bloguais, même sans ordinateur, même au travail, ne serait-ce que dans ma tête. J'irais même jusqu'à dire que je bloguais en dormant. Et seulement pour vous, mes très chers amis.
Oui, mes chers et plus-que-précieux amis, je ne suis pas de ceux pour qui bloguer est une activité ludique, un dilettantisme léger et volatile, circonstantiel. Nous ne sommes pas des blogueurs du dimanche. Bloguer est pour nous, chez Coyote inquiet (tm©®¥£ΦΩ - observez ici tous ces symboles qui en imposent et qui exsudent une juste adéquation d'autorité et d'universalisme) aussi important que la masturbation; ni plus ni moins. Nous ne saurions nous en passer; au risque de sauter une coche.
Souvenez-vous de tout ce que nous vous avions promis pour 2005 !!! Bon ok, ça ne s'est pas passé tout à fait comme prévu et plusieurs promesses ont dû être reléguées à plus tard, sinon aux oubliettes. Mais pour 2006, mesdames et messieurs, nous vous promettons le double, - le DOUBLE - de toutes les promesses que nous n'avons pu tenir en 2005 ! Oui, mesdames et messieurs. Le double. Et je pèse mes mots; et deux fois plutôt qu'une, qui plus est.
Donc terminé, les états d'âmes délétères. Jamais plus de propos obscurs et/ou ténébreux et/ou qui risqueraient de vous perturber en vain. Je ne serai plus pour vous QUE de bonne humeur, drôle et léger, fin, humoristique. Candidement distrayant avec la juste dose de profondeur littéraire qui sied à la fonction. Quant au plan formel, terminé, mes très chers amis, les textes bâclés, les premiers jets spontanés et réflexuels irrespectueusement lancés à votre figure. Nous vous donnerons ce que vous réclamez, ce à quoi vous avez droit, ce que vous méritez, mes plus grands amis du monde. Le meilleur du meilleur. Des textes travaillés. Corrigés. Amputés de leurs fôtes d'otografe. Lus. Relus. Médités par les plus illustres et colossaux penseurs du Québec. Reconçus par eux; réécris et post-rédigés par leurs équipes; et écologiquement publiés via l'électronique par la moyenne finance alter-mondialiste, sans pour autant vouloir offusquer qui que ce soit de plus conservateur ou traditionnel). Nous vous promettons du grand blogue, mios amigos (ooooh... ouverture linguistique, dynamique évolutive du langage...). De l'art blogatoire.
Du blogue de l'extrême centre.
Mesdames et messieurs mes très très chers et très très chères ami(e)s, dorénavant, que des textes à votre image :
Parfaits.
(point culminant du discours, paroxysme, chute orgasmique oratoire, doublée d'une petite touche de subliminal : natas natas natas...).
En conclusion, mes fraternels et amicaux amis, si vous votez pour moi, non seulement vous ne le regretterez pas, mais vous serez contents de votre décision et ne regretterez jamais de l'avoir prise, cette décision sans regrets que vous aurez prise de votre propre chef dès que se terminera cet envoûtant texte blogatoire couvert de printanières promesses, cette implacable démonstration de l'absolue pertinence de notre plate-forme blogatoire. Et un jour, avec fierté, vous direz à vos enfants et petits enfants, qui vous écouteront, fascinés, suspendus à vos vénérables lèvres :
- Le premier blogue-académie ? Oui ma petite, j'y étais. Et j'ai même voté pour Coyote inquiet dans la catégorie (........................................ (votre choix)).
Certains blogueurs vous présentent leurs réalisations en soulignant tous les avantages de leur blogue et sollicitent votre vote; d'autres surlignent en rouge toutes les dimensions dont ils affublent leur blogue... Pff, pieuses intentions ou propagande. Ne vous laissez pas naïvement prendre à cette campagne de séduction, cette démagogie qui les couvre de honte. Souvenez-vous ! Souvenez-vous ! Où étaient ces blogueurs à la belle saison ?!!!!!!
Je vais répondre à ce triste questionnement. Ils étaient dehors. Au soleil. En train de profiter sans aucun scrupule de la vie, des joies et plaisirs de la vraie vie !!! Quel infâmie, mesdames et messieurs ! C'est un scandale, probablement le plus grand depuis le début de l'histoire du blogue. Ils se vautraient dans la réalité ad nauseam (hum hum... latin, encore une fois) ! Ils vous abandonnaient à votre triste sort, vous, pauvres lecteurs de la blogosphère sans plus aucun texte à vous mettre sous la dent. Et que faisais-je, moi, à la belle saison, alors que leur irresponsabilité éclaboussait comme le soleil sur le Fleuve ? Je bloguais. Oui. Seul. Contre toute attente. Me torturant pour votre amusement, mes chers amis. M'autoflagellant pour que vous puissiez être heureux, que votre oeil s'épanouisse à la lecture de quelque ligne grêle et souffreteuse. Bon ok, nous avons certes éprouvé quelques problèmes techniques qui ont assailli les installations de notre parti et qui nous ont empêché de publier urbi et orbi (...) ces textes sur le web pour que vous vous en régaliez avec goinfritude (remarquez ici l'originalité - qui est une des catégories... - dont nos orateurs savent faire preuve),
mais ces légers problèmes techniques sont révolus
maintenant et à jamais réglés, résolus
(hum hum... poésie...)
mesdames et messieurs ! À jamais. Et le fait est que, l'important, c'est que je bloguais, même sans ordinateur, même au travail, ne serait-ce que dans ma tête. J'irais même jusqu'à dire que je bloguais en dormant. Et seulement pour vous, mes très chers amis.
Oui, mes chers et plus-que-précieux amis, je ne suis pas de ceux pour qui bloguer est une activité ludique, un dilettantisme léger et volatile, circonstantiel. Nous ne sommes pas des blogueurs du dimanche. Bloguer est pour nous, chez Coyote inquiet (tm©®¥£ΦΩ - observez ici tous ces symboles qui en imposent et qui exsudent une juste adéquation d'autorité et d'universalisme) aussi important que la masturbation; ni plus ni moins. Nous ne saurions nous en passer; au risque de sauter une coche.
Souvenez-vous de tout ce que nous vous avions promis pour 2005 !!! Bon ok, ça ne s'est pas passé tout à fait comme prévu et plusieurs promesses ont dû être reléguées à plus tard, sinon aux oubliettes. Mais pour 2006, mesdames et messieurs, nous vous promettons le double, - le DOUBLE - de toutes les promesses que nous n'avons pu tenir en 2005 ! Oui, mesdames et messieurs. Le double. Et je pèse mes mots; et deux fois plutôt qu'une, qui plus est.
Donc terminé, les états d'âmes délétères. Jamais plus de propos obscurs et/ou ténébreux et/ou qui risqueraient de vous perturber en vain. Je ne serai plus pour vous QUE de bonne humeur, drôle et léger, fin, humoristique. Candidement distrayant avec la juste dose de profondeur littéraire qui sied à la fonction. Quant au plan formel, terminé, mes très chers amis, les textes bâclés, les premiers jets spontanés et réflexuels irrespectueusement lancés à votre figure. Nous vous donnerons ce que vous réclamez, ce à quoi vous avez droit, ce que vous méritez, mes plus grands amis du monde. Le meilleur du meilleur. Des textes travaillés. Corrigés. Amputés de leurs fôtes d'otografe. Lus. Relus. Médités par les plus illustres et colossaux penseurs du Québec. Reconçus par eux; réécris et post-rédigés par leurs équipes; et écologiquement publiés via l'électronique par la moyenne finance alter-mondialiste, sans pour autant vouloir offusquer qui que ce soit de plus conservateur ou traditionnel). Nous vous promettons du grand blogue, mios amigos (ooooh... ouverture linguistique, dynamique évolutive du langage...). De l'art blogatoire.
Du blogue de l'extrême centre.
Mesdames et messieurs mes très très chers et très très chères ami(e)s, dorénavant, que des textes à votre image :
Parfaits.
(point culminant du discours, paroxysme, chute orgasmique oratoire, doublée d'une petite touche de subliminal : natas natas natas...).
En conclusion, mes fraternels et amicaux amis, si vous votez pour moi, non seulement vous ne le regretterez pas, mais vous serez contents de votre décision et ne regretterez jamais de l'avoir prise, cette décision sans regrets que vous aurez prise de votre propre chef dès que se terminera cet envoûtant texte blogatoire couvert de printanières promesses, cette implacable démonstration de l'absolue pertinence de notre plate-forme blogatoire. Et un jour, avec fierté, vous direz à vos enfants et petits enfants, qui vous écouteront, fascinés, suspendus à vos vénérables lèvres :
- Le premier blogue-académie ? Oui ma petite, j'y étais. Et j'ai même voté pour Coyote inquiet dans la catégorie (........................................ (votre choix)).

4 commentaires:
J'veux surtout pas t'obstiner mais moi aussi j'ai blogué tout l'été... :P
Je sais, mais tous les coups sont permis.
;o)
Tu n'étais pas en dépression l'été dernier Coyote?
(tous les coups sont permis)
***
;-)
J'étais en peine d'amour; pas pareil. Quoique, à bien y repenser, t'as raison...
Mais c'est pas grave. Ça ne m'empêchait aucunement de bloguer dans ma tête...
Et d'ailleurs notre plate-forme blogatoire met l'emphase sur une transition marquée entre 2005 et 2006, un schisme net et irrévocable entre l'année du coq et ...
;o)
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