Fin de semaine pointe son nez comme un chat curieux. Mi-saison mi-vie mi-out ! Mi-vu ni connu. Quel souffle protera son pas cette fois-ci ? Un sapré vent du nord d'éloignements cruels ou une brise de lilas comme un mamelon verdoyant et un somme paresseux sur ses mille langues piquantes ? Où tourneront nos sens et toutes palpitations, sprints ventriculaires, vers l'écorchement féroce ou ou le work-out du paradis, cordée ascentionnelle jusqu'au panorama indicible... Peut-on éviter le changement des saisons parce qu'on craint le vent ?
Aimer ou ne pas, telle est la question.
vendredi, mai 13, 2005
seize heures quatorze
Publié par Coyote inquiet à 4:15 p.m.
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2 commentaires:
Beaucoup de questions, cher Coyote, beaucoup trop, celle que tu te poses là, sent le gros doute, l'énorme doute, le pire de tous les doutes: on aime ou on aime pas ? On devrait toujours tenter d'aimer, même si c'est le verbe le plus insignifiant dans la bouche et dans la main des pros de l'ironie. « L'écorchement féroce...cordée ascentionnelle jusqu'au panorama indicible »; je ne me questionne même plus: comment ne pas aimer après avoir lu de tels mots ? On n'a rien à craindre du vent, il nous fouette, nous rafraîchit, nous pousse par en avant...Bonne fin de semaine...
ah parce que c'est une question!!!???!!! Moi qui pensais qu'on m'avait mis ça dans la bouche de force...
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